« Dans un voyage, le plus long est de franchir le seuil. Il est vrai que la décision de partir en Nouvelle Zélande n’a pas été facile à prendre. Partir loin de ses proches, seul, et sans réels repères, puisque c’était ma première expérience « d’expatrié », a été un choix difficile à faire, mais définitivement le bon.
Non, en fait, pour dire vrai, j’avais surtout besoin d’améliorer mon anglais et la nouvelle Zélande a toujours été une destination de rêve pour moi. Alors lorsque je suis tombé par hasard, après des heures de googlisation, sur le site de Frenchie Abroad je me suis dis « pourquoi pas essayer cette voie ». Le résultat fut probant : des réponses à mes questions en quelques jours, une prise en charge complète et sûre de mon dossier et un staff amical et professionnel.
Voilà la machine était lancée et après 24 sympathiques heures d’avion je me retrouvais à Auckland.
Maintenant si je devais décrire mon expérience en Nouvelle Zélande, je choisirai trois mots : « Sweet as bro !!! ». Mais bon, pour donner plus de profondeur à mon discours, je peux dégager 5 grands axes :
Premièrement j’ai tout de suite été saisi par la convivialité et la gentillesse des gens dans ce pays. Les kiwis ont une culture tout à fait différente de la culture française avec plus de proximité, d’attention et de simplicité.
Deuxièmement Frenchie Abroad a tout fait tout pour que je me sente à l’aise dès les premiers jours : organisation de soirée chaleureuse, de weekend exceptionnels et d’activités dépaysantes.
Troisièmement, mon stage s’est parfaitement déroulé. Complètement ancré dans ma filière (marketing), avec beaucoup de responsabilités et de prises de décision, il répondait totalement à mes attentes.
Autre fait important, la Nouvelle Zélande est un pays magnifique dont la richesse des paysages a comblé chacun de mes nombreux road trips.
Dernièrement, les rencontres avec des personnes de tout horizon tout au long de mon séjour ont bien évidemment contribué aux bons moments que j’ai passés là-bas.
Pour conclure, je ne peux que vous conseiller d’arrêter de lire le récit de mon expérience mais plutôt de vivre la vôtre. »
